Sylvain Prunenec
association du 48

Être milieu des milieux
Pièce pour lieux de nature, jardins, parcs...
de Sylvain Prunenec en collaboration avec Ryan Kernoa et Sophie Laly
Dans Être milieu des milieux, le public est convié, entre chien et loup, au milieu d’un champ, d’un pré, d’une étendue.
Le danseur apparaît à la lisière comme s’il arrivait d’un autre lieu - autre milieu – et, après sa rencontre avec les spectateurs, repartira par une autre lisière. La rencontre s’articule autour de plusieurs temps : une descente dans les profondeurs ténébreuses de la terre, la découverte de différentes tribus graminéennes, une exploration topographique du territoire.
La danse, les textes, la musique et les images se combinent pour permettre l’évocation poétique d’un dialogue ranimé entre l’humain et la nature.



Équipe artistique
Production

Chorégraphie, interprétation, textes Sylvain Prunenec
Vidéo, mise en espace et pyrotechnie Sophie Laly
Espace sonore et musique Ryan Kernoa
Création 2021

40 minutes
Version diurne
Version nocturne avec vidéo

Production
Association du 48
Co-production
Domaine de Kerguéhennec - Département du Morbihan,
dans le cadre de l’appel à projet Corps, espaces sensibles #2
initié par le Département du Morbihan
En partenariat avec
avec TRIO... S - Scène de territoire pour les arts du cirque
(Hennebont et Inzinzac-Lochrist)
Le Canal - Théâtre du Pays de Redon
La Grande Boutique à Langonnet
Danse à tous les étages - Scène de territoire pour la danse.
Soutiens
Théâtre Louis Aragon de Tremblay-en-France
dans le cadre de la résidence territoriale chorégraphique en partenariat avec le Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis
Service du Développement et de l’Action Territoriale de la DRAC Île-de- France dans le cadre de l’appel à projet Itinérance 2020
DRAC Île-de- France Délégation danse au titre de l’aide au projet 2021.
Résumé détaillé
Être milieu des milieux, c’est d’abord une immersion et une exploration dans des espaces de nature - préservés ou délaissés, méconnus ou à redécouvrir - en privilégiant ceux que la nature ou les hommes ont situés aux confins de deux ou plusieurs milieux : les zones frontalières changeantes ou troubles entre le fluvial et la terre ferme, entre l’urbain et le rural, entre le forestier et la lande, entre la roche et le sol tourbeux...
C’est prendre le temps en y marchant, en s’y arrêtant, en y dormant, de découvrir, d’écouter ces territoires « limites », d’en prélever des sons, des impressions, des images. Rencontrer des personnes qui y vivent, y travaillent, ou qui ont la charge de leur préservation.
Essayer de comprendre ce qui habite ces endroits particuliers : les dynamiques naturelles – géologiques, météorologiques - qui les ont créés, la domestication éventuellement opérée par l’homme ou l’usage qu’en font les habitants, mais aussi les transformations auxquels le réchauffement climatique ou la pollution les confrontent.









